Les réactions dijonnaises

Entreprenants, le DFCO a laissé échapper deux points à la maison contre Villefranche (0-0). Découvrez les réactions de Baptiste Ridira, César Obongo et Quentin Bernard.

César Obongo (DFCO) : Personnellement, c’est une satisfaction mais comme j’ai dis au directeur, c’est une récompense, pas un accomplissement. C’est comme un remerciement du travail que je fait depuis que je suis arrivé au club. J’ai envie de rendre à Dijon ce qu’ils m’a donné. Ce soir, j’ai pris du plaisir, et ça change des matchs de N3, il y a les supporters, de l’engouement et une bonne ambiance. Après le rythme est forcément différent mais on se prépare pour. Sur le plan personnel, il y a de la frustration mais il faut avancer. »

Quentin Bernard (DFCO) : « Oui, c’est un match nul avec un goût de défaite surtout au vue de la qualité de l’adversaire. Si on veux monter en ligue 2, ce sont des matchs qu’il faut savoir gagner. Quand on s’attarde sur le déroulement du match, je pense qu’on réalise quand même une bonne première mi-temps, mais on se frustre en n’arrivant pas à marquer. On sent que le match nous échappe un peu. Le rouge de Brandon Ndezi en deuxième mi-temps est un peu à l’image du match, brouillon. Il y a eu pas mal d’arrêts de jeu avec des blessés. Après, on peut aussi se dire qu’on aurait pu le perdre en fin de partie. Il y a de la déception mais on continue à avancer. »

Baptiste Ridira (DFCO) : « Je ne considère pas ce match comme une défaite car nous avons un point. On continue d’avancer. Mais, oui forcément c’est une grosse déception au vu de notre première période. On a eu beaucoup de situations, moins en deuxième. On a moins dominé, notamment après l’expulsion. Oui, il y a eu beaucoup de similitudes avec le match de Saint-Brieuc. On le savait, une équipe qui joue avec ses armes, qui a gagné beaucoup de temps, et la dessus on doit gagner en sérénité et être plus froid face à ces situations. On doit être capable de se focaliser sur le jeu, sur la qualité de ce qu’on fait, et sur notre détermination à marquer. Ça aurait du être fait, dès la première mi-temps. »