01 novembre 2021

Miss Bourgogne : « Impatiente de commencer l’aventure »

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Avant de donner le coup d'envoi fictif du match DFCO - Paris FC (19h00), Chloé Galissi (21 ans) nous a rendu visite au stade Gaston-Gérard. L'occasion de l'interroger sur l'élection Miss France où elle défendra les couleurs de la Bourgogne le 11 décembre prochain à Caen !


 

Chloé, pouvez-vous vous présenter à nos supporters ?

Tout d'abord, bonjour à tous les supporters du DFCO ! Je suis Chloé Galissi, j'ai 21 ans, je viens de Chalon-sur-Saône. Je suis en deuxième année de BTS Profession Immobilière. J'aimerais bien poursuivre en licence et ouvrir mon agence en Bourgogne.
 

De cette belle région Bourgogne, qu'allez-vous mettre en avant durant cette élection ?

Nous avons la chance d'avoir une région très riche, avec de très beaux paysages. J'ai eu la chance de tourner mon portrait Miss France dans les vignes. Il y a des régions où il y a moins de choses à représenter. Les Bourguignons, sur l'ensemble des événements où je me déplace, m'accueillent très bien. Souvent avec un bon verre de vin (rires) ! Je suis très heureuse de représenter la région Bourgogne.


C'est la troisième fois que vous vous présentiez à l'élection Miss Bourgogne. C'était vraiment un rêve pour vous ?

Effectivement, participer au concours de Miss France a toujours été un rêve de petite fille. Quand j'entame quelque chose, j'aime bien aller jusqu'au bout. Il me restait une chance pour y parvenir, donc j'ai foncé. Surtout que mes deux précédentes tentatives s'étaient soldées par deux superbes aventures. Je m'étais fait beaucoup de copines. Je pense qu'aujourd'hui, j'ai beaucoup plus de maturité et je pars à Miss France avec un plus gros bagage.


Qu'avez-vous ressenti au moment de l'annonce de votre élection en tant que Miss Bourgogne ?

C'est un mélange de beaucoup d'émotions. Forcément, j'étais émue. J'ai pleuré. Beaucoup ! C'est d'ailleurs la première fois que je voyais mes parents pleurer de bonheur. Le stress retombe ensuite. Cela fait maintenant un mois que l'élection a eu lieu et je suis impatiente de commencer l'aventure et d'enfiler mon maillot de bain à la Réunion ! (rires)


Quel est le programme avant l'élection ?

Nous ne connaissons pas encore le programme dans les détails. Ce que l'on sait, c'est que nous allons passer deux semaines à la Réunion. Nous allons par exemple faire les photos officielles pour l'élection. Ensuite, pendant deux semaines, nous serons en Normandie, à Caen, pour les répétitions du show Miss France.


Que redoutez-vous le plus pendant cette élection ?

Comme toutes, on a peur de tomber ! M'être donnée autant pour y arriver, puis tomber et finir au zapping... Je pense que je le vivrais un peu mal ! Il y a aussi le moment du discours qui n'est jamais évident, car on ne sait pas comment on va réagir avec le stress, sur le plateau de TF1, devant des millions de téléspectateurs. C'est du tac-o-tac, donc ça fait un peu peur.


Quel est votre sport de prédilection ?

J'ai un petit peu touché à tout ! J'ai fait de l'équitation, de la gymnastique, du volley, du badminton. Je n'ai jamais testé le football, mais mon petit frère en fait et je vais le voir régulièrement. Mon papa est supporter du Paris Saint-Germain. Il m'a initié un peu au football, et j'aime bien regarder les grandes compétitions avec l'équipe de France. J'aime bien me mettre une touche de maquillage aux couleurs de la France, et cela nous permet de vivre des bons moments en famille ou entre amis.


Avez-vous une préférence pour un joueur ?

Mon petit préféré, c'est Mbappé ! C'est mon petit chouchou ! Il a l'air accessible, j'aime ce qu'il dégage, il réalise des prouesses techniques, il a été champion du Monde à 19 ans. Je trouve ça incroyable d'avoir su rester dans sa ligne de conduite, malgré l'explosion médiatique autour de lui.


Le concours Miss France est exigeant. On imagine que vous devez vous préparer physiquement ?

Il y a une préparation sportive car les répétitions sont assez intenses, de 6h du matin à 21h le soir. Pendant deux semaines, il faut tenir la cadence. Oui, il faut avoir un beau corps et se sentir bien dans son corps, mais il faut aussi avoir un bon cardio pour tenir le rythme. Le mental est également très important. Cette compétition demande beaucoup de rigueur. Il faut être parfaite et irréprochable !


Avez-vous des modèles dans la vie ?

J'adore Simone Weil et ses combats pour les femmes. J'admire ce qu'elle a fait, la femme qu'elle est et la force de combat qu'elle a eu pour pouvoir faire passer la loi pour l'avortement. C'est un modèle pour toutes les femmes aujourd'hui. 


Êtes-vous prête à donner le coup d'envoi et avez-vous un peu de pression ?

Un petit peu car je suis un peu main gauche ! (Rires) Je ne voudrais pas envoyer le ballon sur quelqu'un ! Maman me dit souvent que je suis Miss Catastrophe... Je vais essayer de me concentrer. 7000 personnes, c'est à peu près le Zénith de Caen, donc ça va me donner une idée de ce que ça représente avant l'élection Miss France.


Marine Lorphelin, Miss France 2013, a déjà donné le coup d'envoi à Gaston-Gérard... Plutôt un bon signe non ?

Moi qui suis très superstitieuse, je peux y voir un signe ! Pourquoi pas un signe du destin ? Nous verrons le 11 décembre !


Quel est votre pronostic pour le match DFCO - Paris FC ?

On va gagner ! Je vais pronostiquer une victoire 3-1 !

 

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