Valentin Jacob : « Tout pour réussir au DFCO »

Après avoir signé un contrat de trois ans avec le DFCO mardi, Valentin Jacob a exprimé sa satisfaction d"être Dijonnais. Il espère franchir un palier en Côte-d"Or, où il a été séduit par les infrastructures. 
 

Je suis très content de rejoindre le club, car j"arrivais au bout d"un cycle à Niort. Dijon présentait le meilleur projet pour continuer. J"arrive dans un club où il y a tout pour bien progresser. C"est super ! Les infrastructures, c"est le top niveau ! J"ai visité le futur centre d"entraînement, il y a tout pour réussir. Il ne manque de rien. Il y a un très beau stade de Ligue 2 et un bon stade de Ligue 1. 

Le Président a fait référence à d"autres offres te concernant. Qu"est-ce qui t"as le plus séduit dans le projet dijonnais ?
Je recherchais un club qui me correspondait le plus. Dijon, c"est ce qui me correspondait footballistiquement le plus. L"ensemble du club souhaitait ma venue. Tout cela réuni, le choix était facile. 

Considères-tu qu"il s"agisse d"un palier supplémentaire de franchi dans ta carrière ? 
Oui, forcément. J"ai fait trois belles saisons à Niort, qui se sont bien passées au début et un peu moins bien sur la fin au niveau collectif. Que ce soit en Ligue 2 ou en Ligue 1, il fallait que je franchisse un palier. En venant à Dijon, je sens que je passe ce palier. 

Tu sembles être un joueur polyvalent. Quel est ton poste de prédilection et quel style de jeu préfères-tu ? 
J"aime bien être positionné derrière l"attaquant, recevoir le ballon dos au jeu ou arriver à me déplacer dans des zones libres. J"aime bien faire jouer les autres et percuter avec le ballon. Jouer sur un côté, ça ne me dérange pas, mais je suis plus à l"aise derrière l"attaquant. 

Cela fait trois saisons que tu évolues en Ligue 2 aux Champis Niortais. Comment décrirais-tu le championnat de Ligue 2 et que faut-il faire pour y performer ? 
Il faut un peu de tout. Il faut être concentré, car même en Ligue 2, le moindre détail se paye cash. Peut-être un peu moins qu"en Ligue 1, mais quand même... Comme à tout niveau, il faut un état d"esprit correct, un bon groupe qui cohabite bien. Normalement, ça devrait faire l"affaire. 

Le fait de connaître plusieurs joueurs de l"effectif est forcément un plus quand on signe dans un nouveau club ? 
Quand on arrive dans un club où l"on connaît déjà quelques joueurs, c"est beaucoup plus facile. Je connais bien « Sat » (Saturnin Allagbé), « Mika » (Mickaël Le Bihan), j"ai joué avec Fred Sammaritano et j"ai fait des entraînements, plus jeune à Sedan, avec Wesley Lautoa. Je ne sais pas s"il se souvient de moi. C"est important d"arriver dans un vestiaire où l"on connaît déjà quelques têtes.