Senou Coulibaly : » Le retour du public va nous faire du bien »
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Le défenseur dijonnais Senou Coulibaly est passé en conférence de presse avant le match contre Pau (coup d'envoi samedi à 19h). Extraits.
La défaite contre Toulouse
"Elle est dure à encaisser comme toutes les défaites, peut-être celle là un petit peu plus que les autres, mais tout n’est pas à jeter non plus. Dans l’ensemble, on fait plutôt une bonne première période, après je pense que mentalement on a un peu cédé. Cela doit nous servir de leçon pour les prochains matchs."
Le match contre Pau
"Sur le papier, c’est une équipe qui est peut-être plus prenable que Toulouse. Mais cela reste une équipe qui est difficile à manœuvrer. Ils sont compacts et ne lâchent pas, du début à la fin. Si on y va en disant que ça va passer tout seul, ce sera là, justement, le danger et ça ne passera pas. Il faut mettre de l’intensité, de l’engagement dès les premières minutes pour pouvoir essayer de faire basculer le match de notre côté."
Les matchs contre Pau, Bastia, Dunkerque
"Ce sont des équipes abordables, peut-être sur le papier, mais chaque match est différent. On l’a bien vu, c’est un championnat très compliqué. Des équipes comme Bastia, Pau, Dunkerque sont des équipes difficiles à manœuvrer, ce sont des équipes très patientes et justement si on tombe dans le piège de se dire que c’est un calendrier abordable, c’est là qu’on va tomber de haut. Il faut qu’on se concentre déjà sur ce que nous on a à faire : le faire correctement, le faire bien. La chance va nous sourire si on fait ce qu’il faut."
Repartir sur une série
"Les résultats ne sont pas à la hauteur de nos ambitions. Ce n’est pas à la hauteur de nos qualités non plus. Après, si on est là, c’est qu’on le mérite. Je pense qu’on a bien commencé cette deuxième partie de saison. Il y a eu cette défaite à Toulouse, mais il ne faut pas que cela nous mette la tête dans le sac. Il faut qu’on essaie de repartir sur une bonne série."
Le retour du public
"Le retour du public va nous faire du bien. Si on arrive à les emballer et à les laisser vraiment dans le match, ils ne pourront que nous suivre derrière. Quand le public derrière te pousse, ça te motive. Le public, c’est le 12ème homme."